« C'est en cherchant « Buffet + lutte des classes » dans Google, donc, que je suis tombé sur cette phrase de « Buffett ».
Pas Marie Georges, non. Waren.
Deux « F » et deux « T ».
La première fortune mondiale, avec 62 milliards de dollars, passée devant Bill Gates au palmarès 2008. Car c'est bien lui, Waren Buffett, qui a formulé ce verdict.
Cet homme d'affaires américain ne lançait pas ses mots comme une provocation, non, plutôt comme un regret. Comme un simple constat, dressé après une petite expérience : dans son bureau, il avait demandé à ses employés combien ils gagnaient et combien ils payaient d'impôts. Là, il a découvert que c'était lui, le multimilliardaire, qui s'acquittait du plus faible taux. D'où son désir, qu'il expose à un journaliste du New York Times : que lui et ses congénères nababs, soient davantage taxés. Bien que d'accord avec lui, son interlocuteur le prévient : « quand quelqu'un essaye de poser ce problème, il ou elle est accusé(e) de fomenter une guerre des classes. » D'où la réplique de Waren Buffett, en version originale : « There's class fairware, all right, but it's my class, the rich class, that’s making war, and we are winning »